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 Quotidien !

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Shichibukai
Juza Zenzaburô
Juza Zenzaburô
Messages : 139
Date d'inscription : 25/04/2016

Feuille de personnage
Dorikis : 5370
MessageSujet: Quotidien !   Quotidien ! Icon_minitime1Mer 11 Mai - 23:43







“ Marrakesh Island / Bouga ! „





R o u t i n e _ I n t e r r o m p u e !






Jour 1 :


Rien ne s’obtient par le pacifisme, car rien ne ce fait dans la passivité. C’est ce que le défunt père de Juza avait l’habitude de dire il y a jadis déjà. En effet l’homme âgé de trente ans avait du endurer milles difficultés et milles péripéties avant de pouvoir arriver là ou il était arrivé. Sabreur talentueux et premier capitaine corsaire de son époque et même de l’histoire à vrai dire. Homme d’affaire agissant dans l’ombre et big boss de la prestigieuse et montante organisation Versace, on peut dire que Juza revient de loin. Lui le petit garçon du désert que l’on avait oublié à tort et que l’on a surnommé maintenant « Sasori » signifiant littéralement « le scorpion ». Ce surnom le définissait pleinement, car en effet sa personnalité est identique à celle de cet animal appartenant à l'embranchement des arthropodes. Dans la mythologie on raconte que qu’Apollon envoya le Scorpion de feu par jalousie envers l’attention qu’Orion portait à Artémis. Et c’est cette légende qui représente bien le sabreur à la lame maudite. Colérique et rancunier, ce dernier n’hésitera pas à se venger ou à se défouler sur quiconque oserait attiser l’un de ses deux défauts majeur sur lui. Défauts qui par le passé lui à souvent jouer des mauvais tours. Oui lorsque l’on perd son sang froid, il est évident que les ennuies ne sont pas très loin. Fort heureusement il n’y a pas que du mauvais en ce qui concerne Juza.


♥♠★♣♦


Au cœur de l’île de Marrakesh Island qu’il fonda brique par brique sur le dos de Bouga la torture géante, Juza était assit, seul dans une grande salle au cœur du bâtiment royal de la cité. Il se trouvait plus exactement dans la salle de vidéoconférence ou un escargo-vidéo s’y trouvait. Le capitaine corsaire suivait de près les affaires qui concernaient Versace, son organisation. Il avait dépensé des sommes astronomiques pour installer des escargo-caméra pour suivre de près toutes les opérations en cours de son entreprise. Ainsi même à distance il pouvait garder un œil sur son business et ainsi transmettre efficace ses ordres pour l’avancée de ses projets. Et comme à son habitude, très tôt le matin, à cette heure-ci de la matinée Juza s’affairait à surveiller en direct ce qui était filmé via les escargo-caméra, et tout ça avec un paquet de chips en main qu’il mangeait presque machinalement. Son petit pêché mignon. Et oui, cette routine s’était installée depuis ces quelques mois. Plus précisément cela faisait sept mois que le corsaire n’avait pas bougé de son repaire. Sept mois durant lequel il avait l’habitude de faire toujours la même chose. Le matin il se fait confiné seule dans la salle de vidéoconférence avec son paquet de chips pour surveiller ses écrans, puis une fois terminé, il s’isolait seul dans la forêt pour s’entraîner au maniement du sabre avec sa lame d’exception le «Shichiseiken »


♥♠★♣♦


Et une fois son entraînement terminé, il avait l’habitude de faire le tour de l’île pour passer du temps avec les « Platiores », cette race extraordinaire qui se trouvait déjà sur Bouga avant son arrivé sur l’île. Puis une fois cela fait, pour terminer la journée, il restait avec ses hommes, les « 313 » pour festoyer, plaisanter et passer du bon temps sans se prendre la tête. Tous les jours la même chose, au point que cela était devenu un rituel pour le Schichibukaï. Un quotidien qui lui plaisait plutôt bien, lui qui était casanier et solitaire en plus d’être feignant. Assit sur sa chaise tout en mangeant allégrement ses chips qu’il prenait une à une à chaque pincement de doigt, Juza ne pouvait pas s’empêcher de penser qu’on se sent seul en haut. Depuis qu’il était devenu le premier corsaire de l’histoire, son importance au sein du monde le rendait unique. Du moins c’est qu’il aimait bien penser, nourrissant ainsi un peu plus chaque jour son orgueil et son égo surdimensionné. Et avec son type de personnalité plutôt rare et sa capacité à être parmi les plus capables sur le plan stratégique, les gens de sa trempe ne le savaient que trop bien, pour briller dans ce monde il faut être prêt à faire tous les sacrifices possibles et inimaginables. Mais pas que…Au cours de son aventure, pour Juza il a été souvent difficile de trouver des individus de la même sensibilité que lui, de s’entourer de gens qui soient capables de suivre son implacable intellectualisme et ses manœuvres de joueurs d’échec.


♥♠★♣♦


Bien heureusement le corsaire au cours de son voyage avait réussit à trouver des gens de sa trempe, des gens imaginatifs mais catégoriques, ambitieux et pourtant secrets, étonnamment curieux, mais ne gaspillent pas leurs énergies. A son image et à l’image de l’organisation Versace. S’il fallait en citer des gens de sa trempe, le scorpion penserait sans aucun doute à son bras droit Acacia, de la race des Platiores et son conseiller au sein de l’organisation, le deuxième Schcihcibukaï du groupe, le puissant Radjâ Khan. Juza s’était bien entouré malgré son sale caractère. Et c’est ce qui expliquait en partie son côté solitaire et renfermé, car en effet le sabreur était capable de vivre avec des contradictions flagrantes qui, néanmoins, sont parfaitement logiques, du moins d’un point de vue purement rationnel. Par exemple, Juza pouvait être à la fois un idéaliste des plus innocents et un cynique des plus amers qui soient, ce qui semblerait ne pas aller ensemble. Néanmoins, c’est parce qu’il avait tendance à croire qu’avec des efforts, de l’intelligence et de la considération, rien n’est impossible, alors qu’en même temps il pense que les gens sont trop paresseux, dépourvus de vue à long terme ou cupides pour vraiment obtenir ces résultats fantastiques. C’est ce qui fait de lui un éternel insatisfait et c’est ce qui rend parfois la cohabitation avec les autres très difficile. Bref, alors que le sabreur avait le regard figé sur son écran de surveillance à distance, l’un de ses hommes vint à sa rencontre pour l’interrompre dans son visionnage silencieux et solitaire. Une chose inhabituelle qui ne manqua pas d’agacer Juza en son for intérieur.



Airakaz : “ Yo Boss ! Désolé de t’interrompre. Un gars d’la marine vient d’arriver et te demande… ”

Juza :
“ La marine, ici ? Combien ?  ”


Airakaz : “ Un seul Boss, un seul. C’est un gars plutôt grand et costaud, chauve avec des tatouages sur le crâne. Ca doit être un de ces hauts gradés de Marine Ford j’pense…  ”

Juza :
“ Sans doute. Car pour naviguer au sein des eaux du « Triangle Florian » il faut avoir une certaine expérience. Il a du utiliser la « Vivre Card » que j’ai laissé au gouvernement pour qu’il puisse me contacter en cas d’urgence seulement. Tu pense que c’est un cas d’urgence ?  ”


Airakaz : “ Nop. Ca fait des semaines que le quartier général de la marine tente de te contacter Boss. Et pas une seule fois tu as daigné répondre à leurs appels. Pas étonnant maintenant qu’il t’envoie un d’leur larbin jusqu’ici. ”

Quotidien ! 294490fcityofdarknessv01p029

Juza :
“ Dit à Satchi et aux autres de s’occuper de ça, j’ai pas le temps pour ses conneries, je dois surveiller mon business. ”


Airakaz : “ Ecoute Boss, ca va faire quoi…six ? sept mois que tu n’as pas quitté l’île, sept putain de mois que tu reste là devant tes écrans. « Versace » se porte à merveille et n’a jamais été autant fructueux, les affaires marchent bien et jusqu’à maintenant aucun incident n’a été mentionné. Je te conseil vivement d’aller voir c’gars d’la marine et de le rassurer sur tes motivations au sein du corpus des Schichibukaï. En étant inactif à ce poste tu risque de perdre ta place. J’veux dire tu leur donne même pas de news quoi. Je peux me charger de la surveillance s’tu veux Boss. ”

Juza :
“ C’est pas faux…pffffffff….Bon ok ta gagné je vais aller le voir, par contre toi continue de surveiller les écrans.  ”


Airakaz : “ T’inquiète Boss, tranquille, je gère ! Puis t’as pas à t’en faire, Satchi parlera pour toi si t’es trop emmerdé. ”

Juza :
“ Thanks Airakaz.  ”


L’homme qui avait mis fin à la séance de visionnage de Juza n’était autre que le fils du défunt et célèbre héros de la marine de l’ancienne époque Airakaz Marshall. Son nom était Airakaz Marusu, l’un des hommes les plus fidèles du Schichibukaï, l’un des rares qui pouvait se permettre de tutoyer Juza et même de lui faire la morale. Il faisait partit des « 313 », la garde personnelle du corsaire. Sans tarder, le bretteur quitta la salle de visionnage pour se rendre maintenant en direction de la salle de réunion du bâtiment. Celui que l’on surnommait « le scorpion » marchait très lentement, absolument pas pressé de rencontrer cet homme de la marine et de devoir s’expliquer sur son absence inexpliquée. Tout en adoptant une démarche nonchalante, le corsaire terminait de manger avec entrain ses chips au goût paprika. Marchant seul dans un couloir vide et long, ses pensées s’égarèrent à l’unisson des craquements de ses chips sous les dents. Complètement dans les nuages le sabreur ne s’était même pas rendu compte qu’il avait déjà dépassé la salle de réunion. Mais très vite son moment d’égarement prit fin au même moment ou son paquet de chips se retrouva vide. Retrouvant sa lucidité, il mit en boule le paquet de chips pour ensuite jeter le tout dans une poubelle présente dans le couloir pour ensuite faire demi-tour est enfin arriver à la salle de réunion. Juza entra et aperçut que « Satchi » l’un de ses hommes de main dans le groupe des « 313 » était présent avec quelques autres membres.


♥♠★♣♦


Ils étaient installés sur des chaises simples en face du haut gradé de la marine qui avait fait le voyage jusqu’ici exprès pour voir le corsaire. Juza prit donc place au milieu du groupe en prenant un siège, silencieux respirant la confiance en soi tout en dégageant une aura de mystérieuse. Le pirate plongea ensuite sa main droite dans l’une des poches intérieur de son veston pour y sortir une longue paille qu’il mit ensuite au bout de ses lèvres, mâchouillant très légèrement l’extrémité de celle-ci. Une manière pour lui de décompresser, de ne pas stresser et e garder son sang froid. Car oui, même si sous ses apparences d’homme silencieux et calme, Juza pouvait à tout moment littéralement péter un câble, il était un sanguin, impulsif et colérique. En conclusion un faux calme, un volcan endormit pouvant exploser à tout moment, il devait donc tout faire pour ne pas exploser et rentrer en conflit avec cet homme de la marine qui se tenait maintenant devant lui. Tandis que le sabreur s’était avachit sur sa chaise, il avait regardé très brièvement l’homme de la marine du coin de l’œil. Il était grand et très costaud, il ne portait pas les vêtements habituels de ceux de la marine. Pas de long manteau posé sur les épaules, pas de trace de blanc, une simple veste jaune avec un sifflet métallique autour du cou et un pantalon simple de couleur bleu. Le look d’un barman en somme. Maintenant que Juza était installé entre ses hommes, le haut gradé de la marine s’adressa directement à lui sur un ton presque insolent.



“ Enfin ! Te voilà « Juza Zenzaburô », le premier corsaire de l’histoire. Je suis plutôt déçu, je m’attendais à rencontrer quelqu’un de plus impressionnant que ça. Mais bon avec mon expérience, j’ai appris qu’il ne fallait pas se fier aux apparences KUHAHAHAHA !! ”

Quotidien ! 883061icityofdarknessv002ch037p016

“  Bon je vais aller droit au but Juza. Ca fait des semaines pour ne pas dire des mois que le quartier général de la marine cherche à te joindre via Den Den Mushi, mais rien. Pas une seule nouvelle de toi, on a même cru que tu avais rendu l’âme. Puis on a constaté que ta « Vivre Card » était toujours intacte et qu’elle ne s’était pas consumé et que donc tu étais toujours en vie, chose que je constate maintenant en te voyant. Ce qui chiffonne mes supérieurs c’est que tu n’as pas donné signe de vie depuis plus de sept mois. Qu’est ce que tu peux bien foutre de tes journées à rester cloitré ici en quatre murs hein ? Attend en faite je m’en fou, je suis venu pour deux choses. M’assurer que tu respecte bien tes engagements en tant que Capitaine Corsaire et aussi te confier une mission de grande importance. Ouais, si on t’a harcelé via Den Den Mushi jusqu’à maintenant c’est parce que le gouvernement avait besoin de toi pour une mission urgente. ”


Juza resta silencieux, il bouillait en son for intérieur. Il n’avait qu’une seule envie, c’était de se lever pour donner une bonne correction à ce haut gradé de la marine. Mais il devait garder à tout prix son calme et ne rien faire qui pourrait le mettre dans une position fâcheuse. N’étant pas un très bon diplomate, le capitaine corsaire allait laisser « Satchi » s’occuper du reste et resterait silencieux tout simplement durant tout le long de cet entretien impromptu. Satchi est ce qu’on appel un « beau parleur », un expert en communication et  en négociation en plus d’être un diplomate hors pair. Il était très classe, très chic, habillé avec des vêtements de luxe, les jambes croisés et cigarette à la main avec une coupe de cheveux parfaite d’un blond dorée. Et tout comme Juza il respirait la confiance et faisait d’un charisme peu commun. Celui a qui il manquait un œil et qui avait les cheveux de couleur rouge se nommait « Red Hawk » ou plutôt c’est comme ça qu’on l’avait toujours surnommé par ici, il faisait lui aussi partit du groupe des « 313 ». A gauche du borgne se trouvait « Regan », un homme simple et discret, expert dans les arts martiaux. Quant à la jeune femme aux cheveux bleus, elle se faisait appeler « Baby Love », la cuisinière attitrée sur cette île en plus d’être la jeune fiancée de Satchi, elle accompagnait son homme partout, c’était le genre de femme fidèle. Comme on pouvait donc le constater, Juza était entouré d’une véritable famille, il ne s’agissait pas seulement d’hommes de mains lambda, non il considérait tous ceux sous ses ordres comme sa propre famille. Bref, Satchi cigarette à la main prit donc la parole afin de répondre au haut gradé de la marine tandis que le reste du groupe restait silencieux.


Satchi : “ Vice-amiral, si vous le permettez je vais parler au nom de Juza Zenzaburô ici présent. Il est atteint d’une extinction de voix et ne peux pas communiquer avec vous, néanmoins je suis sur qu’il reste à votre écoute. Bien,  tout d’abord merci de vous être déplacé jusqu’ici. L’intérêt que vous portez à notre Boss est le symbole même du contrat qui le lie au gouvernement mondial. Un lien de confiance et de loyauté. Je peux donc vous rassurez sur ce point précis. Juza Zenzaburô est plus que jamais l’un des vôtres, il restera le premier des Schichibukaï et ce jusqu’à sa mort. Concernant le fait qu’il n’a pas répondu à vos appels et bien c’est très simple. Etant donné que nous nous situons au cœur même du Triangle Florian, vous comprendrez parfois que par ici la transmission des ondes de communications peut s’avérer quelque peu…capricieuse. Et concernant l’ordre de mission, bien entendu s’il s’agit d’un impératif du gouvernement, Juza-sama va se faire un plaisir de répondre à votre appel. J’espère vous avoir rassuré, Vice-amiral ? ”

Quotidien ! 531628icityofdarknessv002ch037p026

Red Hawk : ** Mais c’est quoi cette excuse bidon ? Une extinction de voix ?? MDR !! Oh le con, je suis a deux doigts d’exploser de rire là…NON !! Retiens-toi Red, retiens-toi ! **

Regan : ** Héhé ! C’est du Satchi tout craché ça, beaucoup de blabla pour endormir son interlocuteur…Par contre il aurait pu trouver mieux comme excuse…Une extinction de voix ?? Bof, j’aurais plutôt dit la vérité sur ce coup…Que Juza ne lui parle pas de peur de lui casser la gueule. **

Baby Love : ** Merdeeeee…..J’ai oublié de préparer la bouffe….Rhaaaa…Bon, on verra ça après **

Juza :
** Va falloir que je fasse la liste des courses moi même, les chips au paprika c’est pas ce que je préfère…On dit que les meilleurs chips sont ceux fabriqués à Dressrosa. Chips goût tacos, non tortilla ? Rhaaa, je sais pas…Hmmm…Et mais attend, j’ai qu’à acheté toutes les sortes de chips et je pourrais me faire une idée comme ça !? Oué c’est bon ça ! **


Alors que Satchi avait admirablement bien rattrapé le coup pour Juza, en faisant preuve de politesse et de savoir faire quant à sa manière de communiquer. Encore un peu et il se lançait dans une diatribe interminable. Il était même allait jusqu’à mentir pour expliquer le silence de Juza alors que ce dernier était bien présent.  Mais étant donné la complicité qu’il y avait entre eux tous, Satchi avait comprit qu’il devait prendre les rennes, de peur de voir Juza se mettre en rogne. Ses excès de colère tout le monde les connaissaient sur l’île et ce n’était pas beau à voir, d’où cette prise de main talentueuse et élégante de la par du blondinet à la cigarette.  D’ailleurs lorsqu’il avait terminé son monologue celui-ci tira sur sa cigarette pour ensuite extirper de la fumée par ses narines tandis que le reste du groupe, eux, restaient pensifs.  A vrai dire ils en avaient tout simplement rien à foutre du vice-amiral et par extension de cette conversation. Red Hawk lui était à la limite de se laisser échapper à un fou rire irrésistible, tandis que Regan lui se disait qu’il aurait fait mieux que Satchi. Quant à Baby Love elle était plus inquiète du repas qu’elle devait préparer que de la présence du vice-amiral. Et Juza lui…les mains dans la poche de sa veste, recouvert de son grand bonnet qui lui couvrait la tête et qui cachait une partie de son visage, c’était sans doute celui qui était le plus détaché du groupe alors que cet entretien le concernait exclusivement. Il préférait penser à des chips plutôt qu’à sa situation actuelle. C’était du grand délire, mais c’est ainsi que Juza était. Un « je m’enfoutiste » dans l’âme. Voyant la non-réactivité du Schichibukaï, le vice-amiral de la marine décida de se rapprocher de ce dernier pour tenter de le provoquer :


Vice-amiral de la marine : “ Hé Juza ! Laissé un sous-fifre parler en ton nom c’est plutôt naze non ? Je veux dire, bordel t’es l’un des sept capitaines corsaire, le tout premier du groupe et c’est comme ça que tu te comporte ? Ou sont passé tes couilles hein ? Pourquoi tu dis rien ?! Tu vas me répondre oui ? Tsss…Je me demande vraiment ce que le gouvernement te trouve pour t’avoir enrôlé dans le groupe des corsaires. Tapette que tu es… ”

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Satchi : “ Ca suffit vice-amiral ! Je vous ai pourtant dit que mon Boss ne pouvait pas parler. Et puis votre grade ne vous permet pas d’agir de la sorte, vous avez des responsabilités en tant que membre de l’état major de la marine. Il serait dommage que j’avertisse Marine Ford du comportement que vous avez adopté avec mon Boss. Je vois bien que vous essayez de l’énerver pour le pousser au conflit avec vous, mais n’ayez crainte, Juza-Sama ne répondra pas à vos provocations.  ”

Vice-amiral de la marine : “ Tu parle beaucoup toi pour un simple larbin. Et sache que je n’ai aucune leçon à recevoir de la part d’un vulgaire pirate tel que toi. Tu peux prévenir Marine Ford si ca te chante, moi j’en ai rien à carrer. Ca me rend fou que le gouvernement ai crée le groupe des Schichibukaï. C’est la plus grande erreur du siècle. Bref, je me casse, j’ai remis le dossier de mission à Airakaz. J’ai plus rien à foutre ici.  ”


La conversation était houleuse mais fort heureusement Satchi avait mené cette conversation d’une main de maître pour ne pas envenimer les choses. Juza brûlait d’envie de se lever pour croiser le fer avec l’homme chauve mais hélas il ne pouvait pas s’en prendre à lui. S’il faisait ça, il mettait non seulement sa vie en danger en plus de celle de ses nakamas et du sort de cette île, sans parler de l’organisation Versace. Le capitaine corsaire se pinçant légèrement la langue  avec l’une de ses canines pour contenir sa rage et sa colère. Puis avant de partir le vice-amiral de la marine se rapprocha encore un peu plus de Juza pour lui chuchoter quelques mots, toujours avec une insolence et un culot dépassant les limites de la bienséance, tout ça pour provoquer le sabreur :


Vice-amiral de la marine : “ Allez Juzette…Oublie pas que la marine et le gouvernement mondial garde un œil sur toi. Et puis le jour ou tu retrouveras tes « cojones » tu me feras signe hein ? Tapette !  ”

Red Hawk : **Oh putain…Il chlingue de la gueule le chauve ma parole, il sent le camembert pourris fermenté à plein nez…QUELLE PUANTEUR !! Allez Juza courage ! Survit à son haleine de phoque enragé et te laisse pas surmener par la colère ! **

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Satchi : “ Oi, oi, vice-amiral ça suffit ! Veuillez quitter cet endroit maintenant s’il vous plait ! ”

Regan : ** Ah ouais l’haleine du chauve c’est quelque chose…Rien que pour l’odeur je lui donne 5000000 Dorikis…Infernal…La puanteur quoi, je sens ça d’ici quoi…C’est peut être pour ça qu’il a les dents jaunes ? A la place de Juza-Sama je serais tombé dans les pommes, je reconnais bien là notre Boss !! **

Juza :
** Pouaaaaah…Qu’est ce qu’il pue de la gueule « Monsieur Propre ». Alors lui il a pas du tout besoin du « Haki Des Rois », je suis à deux doigts de m’évanouir…Il a mangé un rat crevé avant de venir ou quoi ? Oh l’enfoiré, l’odeur a anesthésié mon pif ! **


En effet, un évènement tragique venait d’arriver, l’haleine du vice-amiral de la marine était atroce. Juza et le reste du groupe pouvaient clairement le sentir. Il s’en est fallu de peu, encore quelques secondes et tout le monde vomissaient. Le vice-amiral quitta la salle pour ensuite se diriger vers la sortie du bâtiment pour enfin quitter l’île à bord d’un vaisseau de guerre de la marine. Une fois que ce dernier quitta les lieux, tout le monde se mettait à tousser, cracher par terre tellement l’haleine du militaire était atroce. Red Hawk suite à cela se mit à rire à perte d’haleine, trouvant la situation des plus cocasses pour à son tour sortir de la pièce. Il allait raconter l’histoire aux autres, histoire de ne pas rire seul. Regan quitta la salle après avoir saluer respectueusement Juza. Stachi et « Baby Love » feraient de même. Le Schichibukaï remercia d’un signe de la tête Satchi et à son tour avait finit par quitter les lieux pour maintenant se diriger hors du bâtiment. Le boss de Versace avait besoin de prendre l’air après cet entretien houleux, il avait été insulté mais heureusement il avait réussit à se contenir et à ne pas répondre aux provocations du vice-amiral qui avait tout fait pour l’énerver. Le sabreur allait s’isoler quelque part sur l’île pour se défouler sur quelque chose. Il en avait bien besoin après tout ça.







Quotidien ! 710133TOBE














Codage fait par Byby. Ne pas recopier. Merci !
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Juza Zenzaburô
Juza Zenzaburô
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MessageSujet: Re: Quotidien !   Quotidien ! Icon_minitime1Ven 13 Mai - 16:55







“ Marrakesh Island / Bouga ! „





A l l i a n c e _ M i n k s !



Jour 2 :


Nous étions maintenant le lendemain, un lendemain plutôt calme par rapport à la vieille. En effet la venue d’un vice-amiral de la marine sur Marrakesh Island avait fortement perturbé le petit train train quotidien du Schichibukaï. Mais ce n’était pas, hier soir dans tous les bars et autres lieux de plaisir de la ville, l’entretien du bretteur à la lame exceptionnel avec le marine de l’état major avait fait le tour de l’île. Red Hawk, l’un des 313 avait tout raconté à tout le monde avec une certaine touche d’humour. Juza ne le savait pas encore mais très bientôt il allait s’en prendre plein la gueule et entendrait parler de cette histoire avec le marine pour encore très longtemps. Bref dans l’immédiat ce n’était pas le plus important. Il était maintenant aux alentours du de dix heure du matin. Juza allait devoir rattraper son entraînement qu’il n’avait pas pu effectuer hier à cause de cet entretien surprise. Pour ce fait il se dirigea vers le château de l’île, là ou il résidait habituellement. Aujourd’hui un froid glaciale s’était installé dans la totalité de l’île. Bouga, la tortue géante sur lequel se tenait l’île de Marralesh Island, était sans doute en train de marcher au cœur d’une perturbation climatique. De la neige commencé même à tomber sur la carapace de la tortue. En se dirigeant vers le château, Le froid tétanisa ses muscles mais il put atteindre la porte principale. Elle mesurait près de 12 mètres de haut et 1.5 mètre d’épaisseur, de plus, elle était en acier. Juza ouvra la porte en poussant celle-ci avec vigueur pour ensuite pleinement entrer au cœur de sa demeure.


♥♠★♣♦


Une fois à l’intérieur Juza se dirigea vers les catacombes du château dans laquelle il avait construit une salle spéciale d’entraînement. Salle qu’il fréquentait tous les jours à l’exception d’hier. En effet le pirate corsaire était un homme sérieux qui ne négligeait pas l’entraînement. Ses efforts ne visaient qu’un seul but : devenir le meilleur sabreur au monde. Juza était ce genre d’homme, un acharné prêt à accomplir tous les sacrifices possibles pour atteindre ses objectifs et ses rêves. On pouvait le définir par sa tendance à évoluer dans la vie comme si c’était un jeu d’échecs géant dont on déplace constamment les pièces avec considération et intelligence, évaluant toujours de nouvelles tactiques, de nouvelles stratégies et de nouveaux plans d’urgence, prenant constamment le dessus sur ses semblables de façon à garder le contrôle d’une situation tout en optimisant leur liberté de mouvement. Cependant cette facette de la personnalité de Juza ne vise pas à suggérer qu’il agit sans conscience morale mais bien au contraire, il agissait pour son bien et pour celui des autres. C’était même ce qui l’avait poussé à entrer dans le corpus des sept capitaines corsaire, la rédemption, le repentir de ses pêchés du passé. Bref, Juza avait finit par arriver dans la salle d’entraînement aménager à cet effet. Il était armé et accompagné de sa lame d’exception le « Shichiseiken », l’une des douze lames de catégories supérieures, un vrai bijou.


♥♠★♣♦


Juza commença par déposer son sabre sur le sol de la grande salle. Il allait débuter par un petit échauffement physique avant d’entamer sérieusement son entraînement. La particularité de ses entraînements est qu’il les exécute dans le noir complet et le plus grand silence en fermant les yeux et en faisant le vide dans sa tête. De cette manière, il peut aiguiser ses sens et ça lui permettait d’avoir des gestes plus instinctifs en combat. C’est pour ça qu’il possédait des réflexes si fulgurants lui permettant ainsi d’apprendre les techniques du domaine martial. Il étira longuement ses deux bras et ses deux jambes pour ensuite courir sur quelques mètres en faisant des allers-retours rapides. Une fois les échauffements terminés, tout en fermant les yeux, le jeune guerrier  exécuta dans le vide une série de mouvement martial. Ses katas au corps à corps se décomposaient en plusieurs phases, la première et la concentration, droite, immobile. La deuxième, il se mettrait en position de base, le poing droit devant le corps suivant parfaitement l’axe du corps, la troisième, le combattant se mettrait en position particulière correspondant à une certaine situation de combat réelle et pour finir la quatrième qui consistait à un mouvement rapide d’attaque ou de défense correspondant à la position précédente. Il répétait ses mouvements inlassablement en changeant sa position lors de la troisième phase à chaque fois.


♥♠★♣♦


L’exécution de ces quatre phases lui prenait en général huit secondes et il répétait ces mouvements pendant plusieurs heures d’affilées. La répétition de ces mouvements lui permettrait ainsi alors, lors d’un combat d’agir instinctivement, comme-ci une certaine « mémoire » du corps ferait réagir inconsciemment son corps face à un danger. Juza ne se consacrait qu’à ça depuis qu’il avait commencé, il ne fallait aucune distraction, et il ne devait pas laisser son esprit vagabonder ailleurs. En répétant plusieurs fois ces mouvements d’arts martiaux, Juza pouvait développer la finesse et la force de ses coups, mais aussi la précision et la dextérité de ses poings. Le style pratiqué par Juza portait le nom de « Cornes Du Dragon ». Ce style n’est pratiqué que par quatre combattants de par le monde dont Juza. S’il est si peu répandu c’est parce que son apprentissage et long et délicat, fastidieux, car les mouvements effectués sont très spéciaux. La difficulté de cet art du combat au corps à corps demande une concentration, une volonté et surtout une patience extrême, c’est pour ça que ceux qui se lancent dans son apprentissage abandonnent rapidement, n’en voyant pas les résultats. Les maîtres en la matière ne les considèrent pas comme dignes de recevoir cet enseignement. Cette mentalité avait fait que cet art était sur le point de disparaître de la surface de la terre mais Juza avait passé la plupart des années de sa vie à l’étude de cet art sans même faire appel à un maître et il est très loin de maitriser ce style comme il le faudrait et que ne lui sied guère d’ailleurs.


♥♠★♣♦


L’apprendre seul fait qu’il faut plus de temps pour l’assimiler. Le principe de cet art consiste en seulement quatorze techniques de combat basé sur les poings et les jambes mais la manière de les apprendre est très particulière. Juza avait lui-même mit au point sa propre méthode d’apprentissage. L’homme à l’origine de ce style était quelqu’un qui était très lent pour apprendre les choses, aucun style de combat au corps à corps ne lui correspondait à cause de cela. Il était lent dans tous ce qu’il faisait et il ne progressait pas. C’est pourquoi il préféra inventer son propre style mettant en valeur sa lenteur. Il mit au point une panoplie de quatorze techniques et les avaient apprit en utilisant sa lenteur. Il devait se tenir droit debout, les paumes des mains collées entre elles à dix centimètres de la poitrine. En fonction du mouvement utilisé, le fondateur de cet art déplaçait les parties de son corps en ne les bougeant que de quelques millimètres par seconde. Le mouvement complet durait en moyenne une heure par technique et il fallait les répéter inlassablement plusieurs fois tous les jours. Il faut des années de pratique pour voir les premiers effets de cet entraînement peu commun mais ce qui était indéniable, c’est que cette manière de faire est parfait pour entraîner son renforcement musculaire et la fluidité des mouvements. Mais rien qu’effectuer une seule des quatorze techniques avec ces mouvements ralentis éprouvait grandement le corps et l’esprit à l’extrême. Rien qu’en une petite et seule heure.


♥♠★♣♦


La méthode simple de Juza consistait à répéter la même technique au ralenti en ralentissant ses propres mouvements au maximum et ce, plusieurs fois sans interruption. Une heure par technique ce qui fait que pour s’entraîner aux quatorze techniques, il fallait y passer quatorze heures complètes en travaillant à fond sur la fluidité de ses mouvements. Juza avait donc passé plusieurs heures complètes à l’entraînement à l’art appelé « Cornes Du Dragon ». A la fin de ces heures d’entraînements, Juza se retrouva dans un état de fatigue avancé. Une fatigue qui était bien plus forte que ce qu’il avait pu connaître durant sa vie. Mais une fatigue saine qui prouvait que le travail avait bien été fait. Il était déjà, trois heures de l’après midi. Le temps avait défilé à toute vitesse et il allait clore son entraînement en ramassant son sabre au sol pour ensuite le dégainer et exécuter quelques katas et mouvements propre au « Kenjutsu », littéralement l’art du sabre. Une fois ceci fait, Juza mit fin à son entraînement pour ensuite quitter la salle d’entraînement et prendre du repos en se rendant dans sa chambre. Il déposa son sabre au pied de son lit, prit une douche rapide et mangea un bout pour finalement s’affaler sur son matelas et se laisser emporter par un sommeil profond et réparateur.  


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C’est seulement après 21 heures que Juza se réveilla enfin. Le corsaire se réveilla doucement tout en s’étirant longuement et poussant un cri de soulagement qu’il avait l’habitude d’extirper de ses cordes vocales à son réveil. Un moyen pour lui d’exprimer la satisfaction de son sommeil. Et c’est à peine levé que quelqu’un frappa à la porte de sa chambre. Très vite le corsaire se leva et laissa son sabre au pied de  son lit. Il se lava rapidement le visage pour ensuite aller ouvrir la porte. C’était l’un de ses hommes, il venait lui annoncer qu’une délégation des « Minks » était arrivée sur l’île. Un rendez-vous prévu depuis l’an dernier déjà et qui avait été reporté mainte fois. Juza remercia l’homme qui était venue l’avertir en un tapotement de l’épaule pour ensuite se rendre au lieu dit. La délégation Minks s’était rendu au « Club 77 », une sorte de bar faisant aussi officie de karaoké, voir même de boite de nuit. Un lieu de détente pour tous les habitants de l’île ou humain et platiore se mélangeait pour leur plus grand bonheur puisque la plupart du temps, ils vivaient séparément sur l’île. Après avoir quitter son château Juza arriva enfin au dit club, et en entrant il aperçut son bras droit Acacia, un homme-arbre de la race des platiores, complètement ivre avec certains de ses hommes. Il reconnu dans le tas également un autre platiore, un homme-plante, répondant au nom de « Haricot ». La musique avait été mise à fond et malgré ça Juza pouvait entendre les rires de ses nakamas. La délégation Minks était bras dessus, bras dessous avec le reste du groupe, eux aussi totalement saoul.






Acacia : «  …mais attends, attends, c’est pas finit, là le type, le vice-amiral s’approche de Juza et selon Red, le gars avait une haleine qui aurait même pu mettre K.O n’importe quel Graham. Je te dis pas la gueule du Boss, il était en mode apnée, tu vois le genre d’apnée qui se traduit par « pitié, je veux mourir » !! VOHOHOHOHOHO !! VOOOOHOHOHOHOHOOOOO !! »

Haricot : «  FOUHAHAHAHAHAHAHAHA !! Oh bordel j’aurais tout donné pour assister à cet entretien !! »

Quotidien ! RCO003

Roll, Chef de la délégation des Minks : « HIYAHAHAHAHAHAHA !! Si ca se passe comme ça sur cette île à chaque fois, croyez moi, nous les Minks somme heureux de pouvoir sceller notre alliance avec vous les gars !! »

313 : « HAHAHAHA !! Soyez pas con les gars, Le Boss s’est laissé maltraité verbalement par ce connard d’vice-amiral pour vous, il voulait éviter un conflit pour sauver vos fesses bande d’ingrat HAHAHAHAHAHA !! Croyez moi, c’était pas l’envie qui lui manquait de fracasser la gueule d’ce gars d’la marine »

Acacia : «  VOHOHOHOHOHO !! C’est vrai ça, allez portons un toast pour le BOSS !!! KAMPAIIIIII !!!  »


L’ambiance ici était extraordinaire, la musique se mêlait au rire et à l’odeur de l’alcool. Le sujet principal qui animait les conversations au cœur du « Club 77 » était cette fameuse rencontre de la vieille entre Juza et le vice-amiral de la marine. Le Schichibukaï préféra ne pas rejoindre le groupe qui semblait bien s’amuser, chose qui lui faisait grandement plaisir même si il ne le montrait pas. Mais c’était trop tard pour passer inaperçu maintenant. Ses hommes à l’intérieur du club avaient repéré Juza pour son plus grand malheur.


313 : « HAHAHAHAHA !! LES GARS !! LE BOSS EST LA !!! »

Quotidien ! 8141062a0

313 : « PATRON !! C’est quoi cette histoire avec ce vice-amiral ? C’est à mourir de rire !! HAHAHAHA !! »


Juza esquissa un sourire et resta silencieux en se contentant de continuer de marcher jusqu’à ce qu’il soit interpellé par l’une des platiores de l’île. Une femme-plante répondant au nom de « Verta ».


Verta : « Oi Juza !!! On m’a dit qu’hier tu t’es sacrifié pour nous ? C’est trop mignon, retenir tes petites colères face à un salopard de la marine qui t’insulte sans vergogne c’est plutôt inhabituel venant de toi. Ca fait très shonen tu t’en rends compte n’est ce pas ?! Hihihihi !! »

Quotidien ! Sans_titre

Juza :
« Vertaaaa !! Tu vas pas t’y mettre toi aussi, t’es la plus mature d’entre nous ! Vous faite chier avec cette histoire, et puis y a rien de marrant !! »


Verta : « Héhé, on te lâchera pas de si tôt avec cette histoire Juza-kun, t’en a encore pour plusieurs mois. Allez vient assit toi et prend un verre avec moi ! Détend toi ! »


Sans attendre le Schichibukaï prit place au côté de la femme-plante. Sans attendre l’un des serveurs du club ramena un verre d’une boisson exotique qui n’était pas de l’alcool, mais un jus de fruit rafraichissant, une spécialité des platiores. Juza bu une gorgée de son verre et s’adressa à Verta pendant que l’amusement et la fête régné au sein du club.


Juza :
« Bon alors, sinon avec la délégation des Minks, ca se passe comment ? J’espère que vous les avez pas trop choqués avec tout ça ? J’ai vu qu’Acacia avait pris les choses en main. Il a réussit à conclure une alliance ou pas ? »


Verta : « Ouep ! Acacia et Haricot ont réussis à conclure l’alliance. Les Minks de Zou et les Platiores de Marrakesh Island sont maintenant des peuples amis. A vrai dire c’est plutôt marrant, même logique puisque les animaux et les plantes ont toujours vécu ensemble de toute façon. »

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Juza :
«  C’est une bonne chose alors. Je vais pouvoir partir tranquille. »


Verta : « Demain ? »

Juza :
«  Oué…Ce vice-amiral de malheur m’a mit la pression et m’a confié une mission chiante… »


Verta : « Après sept long mois d’inactivité, le premier corsaire de l’histoire va enfin reprendre du service. Je veux dire Juza-kun, tu t’attendais à quoi ? En devenant l’un des sept Schichibukaï, tu n’allais quand même pas croire que tu resterais ici sur Marrakesh Island à te tourner les pouces ? C’est comme ça que ca se passe avec ce gouvernement de merde. Ils ordonnent et toi tu obéis. Tu vas pouvoir supporter ça ? Toute ta vie ? »

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Juza :
« Je le ferais pour mes hommes, pour la sécurité des Platiores et pour mon propre business. Je ne ferais pas de vague avec ce foutu gouvernement. Même si c’est plutôt chiant et déroutant pour un pirate comme moi d’obéir aveuglement aux ordres d’une tierce personne…Et bien tant pis, les avantages qu’offre le titre de Schichibukaï est plus important pour moi que les désavantages qui en découlent. »


Verta : « Si tu l’assumes alors c’est parfait. »


Alors que Juza et Verta continuait leur petite discussion, Acacia, l’homme-arbre et le bras droit de Juza était en train de finaliser le contrat d’alliance au côté de l’homme-plante Haricot auprès du chef de la délégation Minks. Malgré que la musique battait toujours son plein, un certain sérieux avait reprit phase autour de la table des négociations.


Chef de la délégation Minks : « Je suis heureux de voir comme nous sommes arrivés à un accord durable avec vous. D’autant plus que les « Platiores » partagent le même sort que nous les « Minks ». Tout comme vous nous vivons également sur le dos d’une créature extraordinaire. Zunesha ! Cet éléphant millénaire qui marche seule dans le Nouveau Monde. »

Haricot : «  Ha !! J’ai déjà entendu  parler de cette histoire, Zunesha doit être extraordinairement grand. Quant à nous, la créature qui porte le destin de notre île sur son dos se nomme Bouga, une tortue elle aussi millénaire. On dit que Bouga et Zunesha ont un lien étroit. Selon notre Boss qui est un lecteur de poneglyphe, il a a pu un jour lire sur une stèle de poneglyphe que Zunesha et Bouga seraient en faite des amis qui ont été bannis au même moment pour un crime que pour l’instant nous ignorons. Zunesha et Bouga ont ensuite été séparés avec le temps. Mais tout porte à croire que Bouga essaie de rejoindre lui aussi petit à petit le Nouveau Monde. Peut être pour retrouver son ami Zunesha, qui sait… »

Acacia : « Dans tous les cas, cette histoire remonte au siècle oubliée. Malheureusement nous n’en saurons pas plus. »

313 : « Fascinant. Néanmoins, pouvons nous revenir sur les termes du contrat qui nous lie…Je veux écrire tout ça sur papier pour officialiser notre alliance. »

Quotidien ! RCO009

Chef de la délégation Minks : « Bien sûr ! Les Minks s’engagent à vous portez assistance en cas de coup dur, de guerre ou toute autre crise qui peut toucher un pays. En retour vous ferez de même tout simplement. Nos peuples sont maintenant amis, si vous êtes en danger, les Minks viendront à votre secours. Je vous ai remis également ma « vivre card », comme ça vous pourrez me retrouver directement sur Zou. »

Acacia : « Parfait ! »

Haricot : « Toi note tout ça sur papier, histoire qu’on appose la marque de Juza-sama pour conclure l’accord. »

313 : « Tout de suite Haricot-San ! »

Chef de la délégation Minks : « Je signe ça tout de suite. »


Suite à cela l’un des agents du groupe 313 rédigea l’accord pour ensuite donner la feuille fraichement rédigé à l’attention du chef Minks. Ce dernier signa l’accord en y apposant sa patte avec de l’encre prévu à cet effet. Et Acacia fit de même en apposant la marque de Juza, à savoir le pavillon noir, une tête de mort avec un sabre et en guise de queue de cheval une queue de scorpion. Une fois que l’accord fut signé entre les deux parties, les hommes du groupe des « 313 » au complet lèveraient leur verre pour fêter cet acte historique :


« Membres des 313 ! Aujourd’hui est un grand jour, nous sommes devenu les nakamas des Minks. Portons un toast tout le monde en l’honneur des Minks, des Platiores, de Versace et de nous les 313 et surtout du Boss sans qui rien de tout ça n’aurait été possible ! VIVE JUZA-SAMA !!! »

Quotidien ! G030

« CHEERSSSSSSSSSSSSSSSS !!! »


Suite à cela, Juza et tout le monde sans exception fêterait avec bon cœur cette nouvelle alliance qui venait d’être scellé. Le Schichibukaï prit le temps également de discuter longuement en privé avec le chef de la délégation Minks afin de préciser certaine clause de cette nouvelle alliance, fructueuse pour l’avenir à n’en pas douter. Lorsque tout fut réglé, Juza quitta le club 77 pour se rendre dans ses quartiers afin de prendre du repos. Car demain il quitterait pour la première fois depuis sept long mois son repaire.


[Suite ==> Royaume D’Alabasta]









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